L’automatisation dans le domaine juridique à la portée de tous les juristes

    

DESCRIPTION

On Demand
Course Leader : Sébastien Lapointe, avocat associé chez Techtonik Legal Inc.
Duration : 1 hour 30 minutes
Price: $95.00

APERÇU

Sébastien Lapointe, avocat associé chez Techtonik Legal Inc.*

On ne peut se le cacher ni l’ignorer : les justiciables et les consommateurs de services juridiques en demandent plus que jamais pour leur argent et n’hésitent pas à comparer les offres de services dans le but de dénicher le fournisseur offrant les meilleurs services au meilleur prix. Dans un tel marché, les bureaux et les juristes qui espèrent demeurer concurrentiels doivent faire preuve de créativité et de flexibilité, notamment pour être le plus efficace possible. Pas de doute, les juristes doivent désormais produire toujours plus, plus rapidement et à meilleur prix. Pour y parvenir, le virage numérique, incluant l’automatisation du travail de nature juridique, s’avère essentiel autant pour les juristes que pour les organisations dans lesquelles ils évoluent. Or, longtemps l’apanage des organisations d’envergure, des fournisseurs de services purement parajuridiques et d’entreprises de technologie, l’automatisation est aujourd’hui à la portée de tous les juristes. Grâce au niveau auquel la technologie est parvenue en 2020, incluant les outils conviviaux requérant peu ou pas d’expertise technique, l’augmentation de l’efficacité du travail de nature juridique s’avère l’un des principaux avantages de la transformation numérique de la pratique à laquelle nous assistons.

Ce webinaire vous permettra ainsi notamment d’en apprendre davantage sur les sujets suivants :

  • Ce qu’on entend par « automatisation » des processus et des tâches, notamment en ce qui touche le domaine juridique, incluant un survol de la relation entre l’efficacité, l’automatisation, les outils et les données de l’organisation.
  • Le visage actuel de l’automatisation, incluant l’automatisation documentaire, l’intelligence artificielle et la démocratisation des intégrations accessibles à faible coût.
  • Un survol des catégories d’éléments que l’on peut automatiser en droit et des outils disponibles, incluant des exemples d’automatisation de processus et de tâches dans divers domaines.
  • Les inconvénients et les limites de l’automatisation dont on devrait tenir compte.
  • Des illustrations des diverses possibilités d’automatisation dans le domaine juridique et parajuridique ainsi que les avantages que peuvent en tirer les juristes, leurs équipes et leurs organisations.
  • Des exemples d’automatisation relatifs à des processus connexes qui, sans être juridiques à proprement parler, s’avèrent néanmoins pertinents pour nombre d’organisations en droit, comme la facturation, la gestion et la mise en marché.
  • Des conseils quant à la façon d’intégrer l’automatisation dans la transformation numérique de votre pratique et du travail au sein de votre organisation.
  • Un énoncé de certaines leçons qu’on peut d’ores et déjà tirer, notamment quant à l’identification des types de processus et de tâches susceptibles d’être le plus aisément automatisés dans le domaine juridique.
Sébastien Lapointe

Me Sébastien Lapointe est un avocat oeuvrant autant en droit commercial qu’en droit
de la propriété intellectuelle (la « PI »). Sa pratique touche particulièrement ce qui
relie le droit des affaires et les « intangibles », incluant les questions relatives au droit
des technologies de l’information, aux dossiers impliquant des droits d’auteurs, aux
renseignements personnels et aux ententes de toutes sortes, dont les licences.

RECONNAISSANCE AUX FINS DE LA FORMATION CONTINUE OBLIGATOIRE

Formation de 1 h 30.

Une attestation de participation sera remise aux participants.

Les avocats doivent conserver les pièces justificatives confirmant leur participation à une activité de formation pendant une période de 7 ans suivant la production de la déclaration de formation continue (art. 9, Règlement sur la formation continue obligatoire des avocats - Décision, (2019) 151 G.O. II, 783 [B-1, r. 12.1]). La durée de conservation des pièces justificatives est de 5 ans pour les notaires (art. 7, Règlement sur la formation continue obligatoire des notaires, chapitre N-3, r. 9.1).

Le Barreau du Québec a confirmé l’admissibilité de cette formation. Les participants sont ainsi assurés que la formation est conforme aux critères du Règlement. Une formation non conforme peut être retirée du dossier de formation du membre.

DATE DE DIFFUSION ORIGINALE

8 décembre 2020.